Le conseil territorial de la jeunesse de Masisi, la société civile forces vives du groupement Kamuronza et Mupfunyi Shanga expriment leur indignation face au comportement de l’Institut congolais pour conservation de la Nature (ICCN) dans le traitement et les réponses aux questions liées à la gestion du Parc National de Virunga au Nord-Kivu.
Ces organisations accusent l’ICCN et son partenaire Virunga de créer un flou autour du dossier Nzulo, pourtant clos, et de nier aux membres de la communauté locale leurs droits fonciers ancestraux.
L’attitude de ces organisations est perçue comme une tentative d’amplifier les conflits et d’inciter à de nouvelles tensions dans une région déjà meurtrie par des atrocités et des assassinats.
« c’est dans cette logique qu’il faudra inscrire la démarche de ces organisations marionnettes instrumentalisées par des individus identifiés à des employés de L’ICCN et fondation Virunga, lesquels tirent bénéfice des conflits persistants dans les limites du PNVi. En prenant position en faveur d’un réseau des mefieux au service de l’ICCN, dans un document nommé alerte à la prudence et la vigilance de la population de Goma et ses environs » a déclaré le président de la CTJ Masisi LWAMBO MUPFUNYI ce Lundi 4 Mars 2024.
Le CTJ Masisi accuse l’ICCN et Virunga d’instrumentaliser des organisations locales pour manipuler la population et de tirer profit des conflits persistants autour du Parc National de Virunga.
Pour l’iccn, le Dossier de la spoliation du du Parc National de Viringa à NZULO est déjà clos.
« L’arrêt de la cour d’appel du Tanganyika a déjà tranché, le parc doit reprendre ses terres(plus de 1000 hectares » Precise ME Lucien MUNYANTWARI Avocat conseil de l’ICCN Nord-kivu.
Notons que l’ICCN pointe du doigt 5 personnes pour des raisons économiques,instrumentalisent la population(autochtones).
Ismaël MATUNGULU