L’Honorable Adèle BAZIZANE MAHESHE, élue du territoire de Nyiragongo et Ministre Honoraire Provinciale de l’éducation, jeunesse, genre et enfants, crache la vérité sur la valeur indélébile de la virginité voire la chasteté des jeunes du Nord Kivu.
Ce dimanche 21 mai 2023, L’honorable Adèle BAZIZANE MAHESHE participe à une célébration de l’eucharistie de Son Excellence WILLY NGUMBI NGENGELE évêque du diocèse de Goma ; une occasion pour cette femme leaderet , aux jeunes, de dévoiler la valeur de garder leur corps humain propre, contre les impuretés et la sexualité incontrôlée :
« Il faut mettre à côté les antivaleurs et tout ce qui peut nuire à l’avenir. Actuellement les jeunes se donnent à l’ alcool, à prostitution, à la débauche et se détachent des valeurs de la famille et de l’église. Je les appelle à bien préparer leur avenir car, non seulement leur vie en dépend et leur corps a une valeur, une capacité de transformer positivement ce monde ; pour en bénéficier, il faut craindre Dieu, chercher à émerger et prospérer dans la vie. Tout ce que l’on fait aujourd’hui a des résultats demain ; il faut bien se conduire en bonne morale […]», a essayé d’éclaircir madame la Ministre de l’education Honoraire du Nord-kivu.
Face à cet aspect de sexualité incontrôlée dans plusieurs maisons de tolérance en ville de Goma, l’Administrateur Provincial et Commissaire Supérieur MAKOSSA KABEYA François, a déjà donné un ultimatum de 15 jours, en datant du 18 mai 2023 pour la fermeture des chambres et bars qui favorisent la sexualité immature de la jeunesse, comme l’on pourra lire dans son communiqué dont est parvenue une copie à la rédaction de au pic infos. Décision qui apportera solution et qui a gain de cause dans la mesure de réduire l’immoralité des jeunes, à en croire madame Adèle BAZIZANE MAHESHE, éducatrice de la jeunesse, qui partage l’idée avec d’autres éclaircissements :
« Je me dis que c’est une des mesures ; mais tout commence en famille. Nous les parents nous avons une grande part de responsabilité. Nous devons déjà inculquer la notion de l’abstinence à nos enfants, dès l’enfance, dans nos familles, nos quartiers… On ne parlerait même pas de maisons de tolérance parce que nos jeunes auraient déjà acquis des enseignements au niveau de la famille. Une fois nous le faisons localement, ces maisons de tolérance n’existeront plus », renforce-t-elle en tant que mère de famille.
La ville de Goma regorge des milieux ciblés où la jeunesse perd leur valeur par la sexualité. Des débats conférences sont en cours pour permettre aux jeunes de revoir leur identité et servir dignement la nation.
J-ROSTAND VUSANGI M.