Du 13 au 15 juin 2024, est prévue la campagne de vaccination contre le Monkey Poks ou Variole de Singe. C’est la déclaration de la Division Provinciale de la Santé, lors d’un briefing de Santé, organisé ce mercredi 5 juin 2024. 

Le Monkey Poks est déjà constaté dans la province du Nord Kivu. Cette maladie, qui se présente en forme de grosses gales sur le corps humain, elle tire son origine d’un virus animal dont les études remontent du singe. Elle tue aussi comme la poliomyélite.

Désiré Buyana, Coordinateur de cette Campagne à la DPS/NORD KIVU, confirme l’existence de cette maladie dangereuse au Nord Kivu et ajoute que c’est depuis longtemps que les cas de cette maladie se sont propagés dans toutes les provinces de la RDC, édictés en 394 à l’Est de ce pays.

Il y a deux molécules LVPO et NVPO de la poliomyélite pour afin booster la première, c’est à partir de la continuité de vaccination que l’on constatera la diminution de la maladie.

Le Monkey Poks se présente cherchez l’homme par une fièvre plus élevée, en éruption cutanée prédominant au niveau de la paume de main d’abord, puis sur tout le corps, a-t-il dit dans son exposé pour afin faire remarquer les symptômes de l’actuelle maladie.

En ces jours où le Nord Kivu vit déjà les premiers effets de cette unité dans le monde de santé, quelques actions seront mises en œuvre :

-La commission de préparer les parents à les sensibiliser sur la vaccination des enfants de 0 à 59 mois prévue le 13/06 ;

-La commission de logistique, chargée de la distribution des tous les matériels nécessaires pour la vaccination contre le Monkey Poks.

-La commission de vaccination, qui interviendra pour le mebendazole, vaccin proprement dit.

Le Directeur estime qu’il n’y aura pas faiblesse de cette activité même si la population vaquerait à ses occupations. Son équipe pourra atteindre tous les concernés partout où ils se trouvent.

La multiplication des vaccins dans les 34 zones de santé n’en fera pas marre, si ce n’est les seules fins de :

Jean Paul LUKUSU, précise le rôle de ce vaccin, qui est de ‘’renforcer l’immunité de l’enfant contre les maladies, au risque d’être un danger pour toute la population’’.

Toutefois, il s’inquiète de la baisse des résultats du Monitoring In-Process, qui ont prédit qu’il y aurait un danger plus grave si la population ne se faisait pas vacciner.

 

J-Rostand VUSANGI M,

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