Warning: Attempt to read property "post_excerpt" on null in /htdocs/wp-content/themes/newsup/inc/ansar/hooks/hook-index-main.php on line 116

La ville de Goma est devenue la ville où les kidnappeurs ignorent l’existence de services de sécurités, ces derniers en profitent pour appauvrir certaines familles et enrichir d’autres avec des sommes colossales récoltées auprès de des membres de familles de victimes du kidnapping. 

En date du 17Aout 2023, les activités ne se sont pas bien déroulé dans la ville de Goma, les étudiants des différentes institutions supérieures et universitaires sont descendus dans la rue pour exiger la libération de l’un de leur qui etudies à l’ISTA/GOMA et qui a été kidnappé depuis le 14 Août dernier dans la ville de Goma.

Ces derniers ont barricadé différents axes routes de la ville pour denoncer la passivité de la maison de télécommunitions Airtel qui ne parvient pas à identifier les kidnappeurs pourtant qui utilisent le réseau airtel pour exiger une rançon aux familles de leurs bourreaux, led éléments de l’ordre ont tiré des balles réelles en l’air pour tenter de disperser les manifestants qui d’abord ont caillasse le bureau Airetl situé au rond-point Instigo et d’autres cabines lors de leur passage.

Face à cette situation, le parlement des jeunes au Nord-Kivu hausse le ton et met le Gouvernement provincial du Nord-Kivu en épreuve. Pour son porte parole Guel MAMLAKA , la souffrance que traverse la population à Goma du kidnapping doit cesser.

« Si les autorités ne veulent pas s’impliquer pourque arrêter le kidnappind, dans ce cas c’est lui avec son ami qui n’est autre que les maisons de telecommunition qui devront desormais payer la rançon demandée par les ravisseurs aux fammilles de victimes, chacun pourra payer 50% » a poursuivi Guel MAMLAKA.

Notons que la représentation des étudiants du Congo Rec en sigle Nord-Kivu de demeurer solidaire face à cette situation. Dans son communiqué datant du 16 aout dernier, la Réc demande à toutes les institutions supérieures et universitaires de cesser avec les activités académiques pour compatir avec l’ISTA dont son étudiant reste en captivité.

Spread the love

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *